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.À la claire fontaine. [Libre]
lost in the grey urban woods
Enoch Livingston

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Enoch Livingston
lost in the grey urban woods



15.10.13 21:07
At the bottom of the lake
I will see no matter how near or far ♫

Il y avait des jours qui annonçaient le printemps plus que d'autres. Et ce n'était pas un de ceux-là. Certes, l'équinoxe n'était que dans deux semaines environ, ce qui offrait la possibilité de quelques belles et froides journées, mais pas aujourd'hui. Le ciel était si couvert qu'on aurait dit qu'il menaçait de neiger à tout moment. Çà et là pourtant, quelques percées azur coloraient les nuages, rapidement bouchées par un flot de grisaille. Enfin, il ne pleuvait pas encore. Indifférent à la météorologie comme au risque d'un orage, Enoch avait quitté la chaleur de ses couvertures tard dans la matinée, sans réelle envie. Cela faisait quelques temps déjà qu'il se traînait d'un bout à l'autre de l'appartement, dans les transports, au bureau, à ruminer des pensées auxquelles il ne trouvait aucun aboutissement. En moins d'un mois, il avait l'impression d'avoir vécu mille vies, si bien qu'à défaut d'être mort autant de fois, il en ressassait les événements sans parvenir à s'en détacher. Il en rêvait, même. Il y avait des silhouettes bizarres qui venaient le visiter la nuit -lui qui croyait être la seule créature fantomatique capable de s'effrayer toute seule- et qui ne lui offraient même pas le privilège de disparaître au matin. Il y avait des ombres étranges dans ses songes, des sorciers, des magiciens et des soldats débordés ; il y avait des batailles et des cadavres d'adolescents aux cheveux bruns dans les rues. Cela le réveillait toujours en nage bien avant l'aube, et la fatigue l'envahissait pour le restant de la journée.

Il se prépara un café noir, grignota une galette de son qu'il ne finit pas, puis agrippa son sac et le remplit avec ce qu'il trouva d'intéressant : une tablette de chocolat à l'orange, trois calepins, un stylo bic bleu, un briquet vert, des mouchoirs pour contrer son début de rhume et un livre de poche intitulé Ghostwritten, dont il ne lui restait que les trois dernières pages à lire, oubliées in extremis au beau milieu de la nuit. Il enfila un jeans usé, passa un sweat gris par-dessus son t-shirt et, l'écharpe au cou, quitta son appartement. Il ne savait pas vraiment où aller, pas plus qu'il n'avait une idée d'occupation pour la journée. Son travail ne le pressait pas, à tel point qu'il avait songé le quitter pour quelque chose de plus passionnant ; après deux ans à bosser devant cette machine à café, il avait envie d'aller voir ailleurs. Cependant, il se demandait s'il pensait ainsi à cause des incidents récents ou si c'était vraiment ce dont il avait envie. Il ne voyait pas travailler comme un adulte. Cela avait l'air trop compliqué, trop contraignant, surtout. Il ne se voyait pas adulte, tout simplement. Avec un peu de chance, il avait un poste au noir qui l'attendait à l'hôpital, grâce à McAllister, mais de nombreuses hésitations l'empêchaient de franchir le pas ; son manque de connaissance, son statut falsifié et, la dernière mais pas la moindre, sa révulsion à l'égard de tout ce qui s'apparentait de près ou de loin à un hôpital. Résultat, il était toujours au même endroit, dans ces bureaux, et finissait par s'emmerder comme un rat mort.

La ligne de tram le mena jusqu'à l'extrémité de la périphérie. Il lui était souvent venu l'envie d'explorer l'extérieur de la ville qu'il n'avait pas quittée depuis qu'il y était rentré, à dix-neuf ans. Plutôt que d'aller se perdre dans les montagnes ou les bois, le garçon opta pour les abords du lac, dans lequel il se promit de piquer une tête lorsque le climat serait plus clément. Il était bientôt midi, si bien qu'il n'y avait pratiquement personne. À moins que ce ne fût parce que c'était mercredi, et qu'aucun habitant n'avait eu l'idée folle de se promener ici à cette heure en pleine semaine. Qu'importe, lui y était, et après une courte marche, il quitta la route pour un étroit sentier le long des berges. Le ciel se couvrait de plus en plus sans qu'il n'y prêtât attention. Il croisa un ou deux joggeurs qui ne le remarquèrent pas au passage, s'arrêta pour observer un groupe de canards et repartit ensuite s'asseoir sur une petite plage naturelle. Il s'installa, posa son chargement, prit son livre... Et les premières gouttes se mirent à tomber. Levant un œil contrarié vers les cieux, il fut pourtant obligé d'abdiquer face aux éléments lorsqu'il sentit que la pluie s'intensifiait. S'il ne voulait pas se tremper jusqu'aux os, il avait tout intérêt à se réfugier sous le premier toit à sa portée. Chose qui n'existait visiblement pas dans son périmètre immédiat. Son bagage en guise de parapluie, il accéléra quand il aperçut, à une cinquantaine de mètres devant lui, un abri en bois face à l'eau -une cabane de pêcheur, sans doute.

Au moment d'ouvrir la porte, il envoya une brève prière au dieu des poignées de fer rouillées pour que celle-ci fonctionne bien et ne soit pas scellée. Prière exaucée. Il n'y avait personne dans l'habitacle, si bien qu'il put y souffler ; le toit crépitait sous l'orage et le tonnerre ne tarda pas à se faire entendre, encore lointain toutefois. Dans un coin, un amas de vieilles cannes à pêche prenait la poussière. Un immense coffre servait de table, avec quelques tabourets disposés autour, et l'unique fenêtre était trop sale pour voir ce qui se passait dehors. Enoch s'assit, soudain las, et écouta l'eau se répandre sur les planches. Il était condamné à attendre la fin du déluge. Et il doutait que quelqu'un se soit laissé prendre au piège aussi bêtement que lui.
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22.10.13 22:27
J’avais passé la nuit dans les ruines qui border la ville, ce n’était pas très confortable il faut dire, mais pas de quoi se plaindre j’avais un toit pour m’abriter de la l’orage qui avais fait rage la nuit dernière et j’avais l’électricité et l’eau potable par je ne sais quel miracle. Je me réveillai assez tôt sur un vieux matelas emmitouflé dans mon sac de couchage. Je regardai par la fenêtre fêler, le ciel était d’humeur triste, et les nuages recouvrer la totalité. Ce n’était pas une journée ou il y aurait énormément de monde a l’extérieur. Une super journée pour répondre aux nombreuses questions qui ne m’avait pas quitté depuis ses mystérieux incident et mon arriver dans cette ville.

Je pris alors un douche dans ce vielle hôtel, l’eau était froide, vraiment très froide. Je n’y suis pas resté très longtemps de peur de chopper la crève. Apres cela je rangeai mon sac de couchage et repartie avec le peu d’affaire que j’avais. Je fermai la porte avec la clé que j’avais trouvée dans le casier de la réception, et la mise dans ma poche. Je ne souhaiter pas laisser le peux d’affaire dans cette chambre, car on s’avait jamais se qui pouvais arriver, c’était l’une des leçons que j’avais appris depuis cette incident.

Je quittai l’hôtel, et me promena dans les ruines un petit moment, j’étais absorbé par le ciel qui était recouvert de nuage grisonnant, les rayons du soleil avait du mal à passer comme si lui aussi souhaiter rester sous la couchette pour faire une grâce matinée. Apres une heure de marche je me retrouvai dans le foret. Les oiseaux commençai a chante annonciateur du retour du printemps. La foret était tout de fois bien calme, normal personne ne souhaiterai aller en foret par un temps pareil et surtout aussi tôt.
Je regardai donc cette nature prendre peu à peu vie, je pris quelques photos, notamment celle d’un lac illuminé par un rayon de soleil qui avait réussi à presse sa couverture de nuage. Le lac était illuminer, il brillait, s’était un spectacle de tout beauté. Je quittai le sentier pour me rapprocher d’un peu plus prés.

Apres 10min je trouvai un petit coin, à l’ abri des regards indiscret et décida de m’y installer pour profiter du paysage qui se dévoiler devant moi. Je posai mes affaire prés d’un Saul pleureur qui se trouver tout proche de la berge et dont le feuillage couvrez une partie du lac.
Je m’approcha doucement de celui-ci de peur de tomber et m'assis au bord. Je regardai mon reflet dans l’eau illuminer par le peu de rayon de soleil qui arriver à passer le feuillage et sa couverture de nuage. Je me perdis alors peu à peu dans mes penser, comme si l’eau m’apaiser, après tout je ne comprenais toujours pas pourquoi mes parents était mort, ce qui m’était arrivé se fameux jour, et surtout pourquoi je fuis.

Je ne vis pas le temps passer et quand je reviens a mes esprits la pluie tomber, j’étais mouiller et je me dépêchai de prendre mes affaires, je ne souhaiter pas avoir mes affaires tremper surtout mon appareil photo. Et sans comprendre pourquoi, le temps se mis à changer cela passa d’une simple petit averse a des pluies diluvienne. Je me mis alors à courir sur le premier sentier que je vis, protégeant les affaires du mieux que je pouvais. Au loin j’aperçu une petit cabane, elle sembler abandonner, je mis alors tout mes force pour l’atteindre au plus vite. Quand j’arrivai devant le petit cabanon je frappai timidement puis poussa la porte. A l’intérieur il y avait quelqu’un je ne savais pas si le cabanon lui appartenez, et ne souhaiter pas le savoir.

"Désoler, je ne souhaitais pas déranger" avec un gêne.

Je me retournai donc et partie d’un air presser pour éviter d’être encore plus mouille, mais la malchance me frappa et je glissai. J’atterris par terre encore plus tremper et recouverte de boue.
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lost in the grey urban woods
Enoch Livingston

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Enoch Livingston
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01.11.13 22:58
So go ahead and bat your eyes and lie right to the world
For with everything you are, you're just a little girl ♫

Pour passer le temps tant bien que mal, Enoch avait sorti de son sac le livre qu'il projetait de terminer sur un banc, à l'extérieur, avant que cette averse ne l'obligeât à se chercher un abri. N'ayant pas pensé à emporter une second ouvrage, il se retrouva néanmoins embarrassé lorsqu'il eut achevé les trois misérables feuilles restantes ; il avait pour principe de ne jamais relire une même œuvre, non par flegmatisme ou manque de temps, mais parce qu'il considérait qu'une deuxième lecture supprimait tout le plaisir de la première et donc, pour cette raison, il ne recommencerait pas celle-ci malgré les minutes qu'il avait à perdre en patientant. Il n'eut pourtant pas le loisir d'attendre plus longtemps. À peine avait-il commencé à soupirer sur son infortune qu'un son de pas mouillé se fit entendre devant la porte. Malgré le vacarme de la pluie sur le toit, cela ne faisait aucun doute qu'il y avait une personne de l'autre côté. Insociabilité oblige, le fantôme espéra que ce promeneur perdu n'aurait pas l'idée d'ouvrir la porte à son tour ; l'habitacle était très étroit, peut-être trop pour deux créatures surprises par le climat. Mais il dut mettre son caractère d'ermite de côté lorsqu'il aperçut la poignée tourner en face de lui. En une seconde, il imagina toutes les possibilités qui pouvaient se produire : un pêcheur râleur et possessif envers sa cabane, un couple pour qui le pique-nique en amoureux avait mal tourné, un clochard avec des envies de siestes, un peintre protégeant s on chevalet et ses aquarelles avec sa cape. Il ne songea alors pas du tout à ce qu'une jeune fille aux cheveux blancs puisse entrer.

Ses premiers mots furent pour s'excuser et ses premiers gestes pour repartir. Je ne vais pas l'arrêter, pensa le garçon qui n'aspirait qu'à un peu de solitude. Il dut toutefois revoir ses prérogatives lorsque à peine une seconde après, il entendit le bruit caractéristique d'une chute boueuse ; il sauta d'un bond sur ses pieds et s'approcha de la porte laissée entrouverte, pour découvrir la demoiselle les fesses par terre et les habits trempés. Enfin quelqu'un d'aussi maladroit que lui ! Si ça n'avait pas été elle, il aurait été capable de glisser de la même façon, et c'est sans doute cette ressemblance qui le poussa à venir en aide à la fillette. Tant pis pour la pluie ; ce n'était pas le plus à plaindre pour le moment, lui qui avait encore le pantalon sec.
« Vous auriez pu vous faire mal, lança-t-il en s'approchant d'elle. Attendez au moins la fin de l'averse pour partir. » Et pour l'inviter à revenir à l'intérieur de la bicoque, il fit un léger mouvement de bras qui signifiait Relevez-vous et venez vous abriter. Il la sentait farouche et ne pouvait que la comprendre, mais c'était déraisonnable de préférer attraper un rhume dehors plutôt que de rentrer au chaud. La couleur de ses cheveux l'intriguait aussi, il fallait se l'avouer, d'autant plus qu'à côté d'elle, les siens paraissaient presque sombres, alors qu'on lui avait toujours dit qu'il les avait terriblement clairs. La dépigmentation n'était pas aussi importante chez lui, même si l'anémie le rendait aussi pâle qu'un cadavre à certains moments.

Une fois à l'intérieur de la cabane, Enoch jeta un œil sur sa compagne de malchance. Elle n'avait pas des vêtements très adaptés et se retrouverait rapidement à geler sur place si elle ne se changeait pas. Mais dans ce 3m², difficile d'avoir la garde-robe et l'intimité nécessaires pour s'habiller autrement. Le jeune homme retira alors son sweat et le tendit à la demoiselle afin qu'elle l'enfile. Puisque à vue de nez, elle était un peu plus petite que lui et que, de toute manière, il avait la manie de toujours prendre une taille au-dessus en choisissant ses habits, ce vêtement lui irait forcément. Résultat, c'était lui qui allait avoir froid avec son simple t-shirt, mais il avait conservé son écharpe dont il s'entourait les bras pour les maintenir un peu au chaud.
« Gardez-le pour vous réchauffer, vous en avez plus besoin que moi » reprit-il, légèrement gêné à l'idée de partager un endroit aussi exigu avec une fille. Pas qu'il soit intéressé ou quoi que ce soit, par ailleurs, mais simplement pour le principe. Si quelqu'un les trouvait, cela pourrait prêter à confusion. Pour détendre l'atmosphère, il ajouta, sur le ton de la plaisanterie : « On dirait que nous avons tous deux choisi le jour idéal pour sortir. » Le tonnerre qui éclata recouvrit à moitié le son de sa voix.
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24.12.13 14:43
La chute était assez violente et sac était partie un peu en arrière, j'étais trempée et sonné. Mais je discerna une voix, c’était celle du jeune homme dans la cabane sans doute puisque je n'avais croisé personne en arrivant, a part lui.

"Vous auriez pu vous faire mal, Attendez au moins la fin de l'averse pour partir."

Il me tendit la main et m'aida à me relever, je la prise sans doute par instinct. Il m'invita à rentrer dans le petit cabanon. C'était assez rustique il faut dire mais pour se protéger d’une averse cela était amplement suffisant. Je posa mon sac a cote de la table juste a mes pied et m'assise en face du garçon sur se qui ressemblait a un tabouerait.

On se regarda un petit moment, dans un des plus grands silences, laissant la pluie taper sur le toit et la vitre. Puis je me mise a éternue, et a greloter, j’étais tremper et se n'était pas forcement la meilleur idée de rester avec des habits mouiller.
Le jeune homme se regarda puis enleva sont sweet et me tendit. Je le pris mais hésita au début. Quand je l'enfila il reprit:

"Gardez-le pour vous réchauffer, vous en avez plus besoin que moi"

Je laissa échapper un merci avec un petit sourire.
Le jeune homme pour ne pas laisse le silence s'installer reprit avec un sourire

"On dirait que nous avons tous deux choisi le jour idéal pour sortir"

Je n'ai pas tout de suite prêtais attention j’étais au contraire comme absorbé par la pluie et le lac comme si rien d'autre n'avais d'importance.
C'est quand j'entendis des gouttes sur le plancher que je me jeta sur mon sac et que je regarda dedans je me dépêcha de sortir mon cahier a croquis et mon appareil photo que j'étala sur la table.
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Enoch Livingston

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Enoch Livingston
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10.01.14 21:59
When the rain comes they run and hide their heads
They might as well be dead ♫

Elle avait accepté son vêtement avec un timide merci, sans doute aussi mal à l'aise que lui. Mais il ne pouvait pas lui en vouloir, puisque finalement, il préférait avoir affaire à cette jeune fille pas très loquace qu'à un gros barbare baratineur mulâtre et amateur de vinasse. Enoch la regarda donc enfiler son sweat et s'étonna de constater qu'ils avaient tous les deux à peu près la même largueur d'épaules. La demoiselle avait beau être plus petite de quelques centimètres, le damoiseau n'avait pas imaginé que son habit puisse convenir à une fille ; il y avait là une preuve supplémentaire pour douter de sa propre masculinité, et il s'en trouvait un peu déconfit. Son androgynie et la bizarrerie de ses réflexions mises de côté, il retourna s'asseoir sans un mot, à défaut de trouver quelque chose d'intelligent à dire. Il n'avait pas particulièrement envie d'engager la conversation, quand bien même la présence de cette gamine provoquait en lui certains questionnements. À commencer par la couleur de ses cheveux. Un détail d'apparence, certes, mais il trouvait cela vraiment atypique et, par conséquent, intriguant. De là à lui demander son code génétique et si elle avait subi des railleries à cause de sa chevelure, tout de même pas.
Alors que le silence s'éternisait, le fantôme trifouilla son sac pour y attraper la tablette de chocolat, dont il cassa le bord avant de l'avaler ; le morceau n'était pas encore fondu dans sa bouche qu'il eut un sursaut et prêta de nouveau attention à la fillette, visiblement perturbée par quelque chose dans ses affaires.

Curieux, Enoch suivit du regard l'appareil photo qu'elle posa sur la table, et aussitôt se perdit dans des tas d'interprétations. Était-elle une photographe professionnelle dérangée au beau milieu d'un shooting par l'averse ? Une amatrice cherchant à immortaliser sur pellicule la poésie du lac ? Ou alors un espion en chasse, une journaliste d'investigation hyper stricte et maniaco-dépressive, qui prenait des photographies à tout bout de champ et à tort et à travers, pour combler le vide affectif de son existence psychorigide... Oh, il s'égarait un peu trop. Il eut envie de lui demander, ne serait-ce que pour empêcher son cerveau ne débiter d'autres âneries pour combler, justement, son ignorance à lui. À la place, et parce qu'il considérait que c'était une approche moins directe et, de cette manière, moins effrayante, il lui tendit la tablette de chocolat à l'orange qu'il avait gardé dans son sac. Parce que le chocolat, c'est le meilleur moyen d'inspirer confiance aux gens. Eh oui. En fait, il n'en savait rien, et il s'en fichait.

« Vous en voulez ? Non, parce que c'est... Enfin, voilà. » Il s'apprêtait à sortir une débilité, du genre ça vous réchauffera au moins l'estomac, mais réussit à s'abstenir et, à la place, enraya sur ce qui le taraudait depuis quelques instants et qu'il avait pourtant essayé de taire.
« Vous travaillez dans la photographie ? Ou c'est pour le plaisir ? Il ne faudrait pas qu'il prenne l'humidité. Vous l'avez depuis longtemps ? » Il ouvrit de nouveau la bouche, étant sur le point de laisser s'échapper d'autres questions ; il se retint juste à temps toutefois, après s'être rendu compte qu'il en était déjà à trois interrogations et qu'il risquait de dépasser son quota s'il ne se freinait pas un peu. Et puis, il lui parlait presque comme à une connaissance, pour couronner le tout. « …Je m'appelle Enoch », lâcha-t-il soudain, comme un cheveu dans la soupe, tout à coup gêné de sa familiarité, espérant que cette brève présentation rattraperait son emportement.
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26.01.14 19:33
Mes affaires n'avais rien heureusement. Je laissais passer un petit soupir de soulagement. Pendant que j’étais en train de m’inquiète inutilement apparemment par mes affaires. Le jeune homme au teint pale avait sortie une tablette de chocolat et m'en tendit un morceau sous le nez.

"Vous en voulez ? Non, parce que c'est... Enfin, voilà." avec hésitation

Je ne voulais pas m'imposer, mais mon estomac en avait décider autrement, et se mis a le faire savoir. Un bruit sourd se fit entendre dans le cabanon. Apres se bruit je me mis a m’écraser la tête sur la table. Je ne savais plus ou me mettre après ça. J’étais extrêmement gêne et d'un petite voix, derrière mes cheveux.

"Mer.. Merci je veux bien..."

Je pris un morceau et commença a manger comme un petite souris. Pendant que je mangeais, l'homme regarder l'appareil photos et me posa une question.

" Vous travaillez dans la photographie ? Ou c'est pour le plaisir ? Il ne faudrait pas qu'il prenne l'humidité. Vous l'avez depuis longtemps ? "

"Ah, non vous méprenez pas je ne suis qu'une amatrice. Et ne vous inquiété pas il en a vue bien d'autre, ce n'est pas une petite averse qui va lui faire peur." Je le regarder l'appareil avec quelque petite étoile dans les yeux.

"Ah mes je m’égare, désoler...." mais j'eu a peine le temps de finir ma phrase

" …Je m'appelle Enoch" répliqua t'il

"Et moi Kira enchanter"

C’était étrange, pour la première fois depuis bien longtemps j'avais dit mon nom comme a un vielle connaissance. Je me sentais en quelque sorte en sécurité auprès du jeune homme, enfin plutôt de Enoch.
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07.02.14 21:19
Hey, now we're building up speed as we're approaching the hill
My hair smells like chocolate ♫

Hu, elle était toute mignonne à grignoter son carré de chocolat par petits morceaux. Avec ses drôles de cheveux clairs et son air égaré, si des oreilles de souris lui poussaient, on l'aurait confondue avec un rongeur pris en flagrant délit de gourmandise. Mais rien à craindre de ce point de vue-là ; tout était humaine chez elle, et Enoch ne s'attendait pas vraiment à la voir se métamorphoser sous ses yeux. Quoique, après tout ce qu'il avait vu ou entendu, il se demandait quand même si ce n'était pas possible et si certains habitants de Madison, à cause de cette histoire de pouvoirs, n'avaient pas gagné la capacité de ce genre de transformation. Il lui aurait bien posé la question, tiens, mais il serait passé pour fou à lier. Ce qui n'était pas dans ses envies actuelles.

La gamine avait beau ne pas être très à l'aise dans cet endroit exigu, parler de photographie semblait aussitôt la décoincer. En effet, le garçon n'avait pas pu passer à côté de cette pointe d'enthousiasme qu'elle avait manifestée, enthousiasme aussitôt retombé à cause de la crainte de trop s'épancher. Il aurait aimé la rassurer à ce sujet ; lui qui n'y connaissait rien en photographie, connaître quelqu'un qui pouvait le renseigner sur ce domaine était toujours bienvenu. Mais accepterait-elle de se livrer aussi facilement ? Mieux valait avancer avec douceur et sympathie, pour ne pas la brusquer.

« Enchanté, Kira. » Il ne put s'empêcher de trouver ce nom étrange, maintenant qu'il le prononçait à son tour. « Ce n'est pas américain, n'est-ce pas ? Il y a un côté exotique. » Ça ne pouvait pas l'être, oh que non. Dans sa tête, cela sonnait plutôt asiatique, mais qui sait si ses parents n'avaient pas des origines nippones ou un goût immodéré pour les sushis, au point d'appeler leur fille ainsi. Mais cela n'expliquait pas sa carnation pâle. Il est des mystères qui ne se résolvent pas d'un claquement de doigts.

Un court silence passa, durant lequel Enoch repensa à ce que la jeune fille venait de dire et, comme il fallait s'y attendre, ses réflexions le poussèrent un peu plus loin que prévu. « Est-ce que... » Il n'eut pas le loisir de continuer et de terminer sa phrase, car la pluie redoubla d'intensité – comme si c'était possible alors qu'il pleuvait déjà des cordes – et le toit du cabanon céda sous la pression de l'eau. La tôle ne tomba pas sur le crâne du garçon, heureusement, mais il se retrouva bien dépourvu face à ce châtiment divin ; peut-être était-ce un dieu là-haut qui avait décidé de lui fermer le clapet avant qu'il n'en dise trop ? Il ne saurait jamais, et de toute manière il ne croyait pas en dieu. Mais la poisse, elle, était bien réelle. Et s'ils ne voulaient pas finir tous les deux trempés, il allait falloir sortir et trouver un autre abri. « Mieux vaut aller autre part si on ne veut pas finir noyé dans ce cagibi... » ajouta-t-il en se dirigeant vers la porte, les cheveux déjà dégoulinants.
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03.03.14 22:16
« Ce n'est pas américain, n'est-ce pas ? Il y a un côté exotique. »

Je me tue face a ses mots. Il était vrai que cela faisait longtemps que je vivait en Amérique mes je n’était pas pour autant une de pure souche. Cette étiquette que l'on avait t'en de fois remise a mon coup, je pensais m'en être débarrasser en venant dans cette ville, mais après tout je n'avais peut être pas ma place parmi la population de Madisson. J’étais peut être après tout, qu'une étrangère comme tant d'autre qui ne faisait que passer. Ses penser commencer a me hanter et a ne plus vouloir partir, je me coupa du monde extérieur peu a peu.

Tout a coup un bruit sourd me fit revenir a moi. Le toit venais de céder et Enoch était tremper de la tête au pied. Je ne compris pas tout de suite le pourquoi du comment, mais une chose était sur il ne fallait pas rester ici.

« Mieux vaut aller autre part si on ne veut pas finir noyé dans ce cagibi... »

Enoch avais raison, je le suivie, a travers la foret. Nous etions tout les deux tremper, mais je ne savais pas pourquoi mes doutes était partie comme si la pluie les avais pris avec. Et je ne pouvais m’empêcher de sourire. Malheureusement, le sol était glissant, vraiment très glissant, et je dérapas. Je dévalas sans pouvoir m’arrêter dans la pente qui se présenter a côté de nous. Finalement j’atterre dans une flaque d'eau, sonner par la descente effrénée que je venais de faire. J'entendis une voix une loin cela devais être Enoch je pense.

Je ne savais même pas si je m’était casser quelque chose ou si j'avais des égratignure se qui devais certainement être le cas mais comme pour que personne ne s’inquiète je sortie cela:

"Je vais bien"
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Enoch Livingston

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Enoch Livingston
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19.03.14 21:30
So never mind the darkness we still can find a way
'Cause nothing lasts forever even cold November rain ♫


Si cette douche surprise n'aboutissait pas à une grippe carabinée, il lui faudrait remercier le ciel, ce même ciel qui venait de lui tomber sur la tête sans prévenir pour le tremper jusqu'aux orteils. Enoch poussa la porte puis un léger soupir en constatant que, vu la noirceur des nuages, ce déluge ne se terminerait pas de sitôt. Alors où aller ? Où s'abriter lorsque la moindre petite cabane croulait sous le poids de l'eau ? Le garçon ne connaissait pas le coin ; ce qui l'inquiétait le plus, pour l'instant, c'était de ne pas pouvoir davantage protéger son livre qu'au moyen de son sac. Il ne lui serait même pas venu à l'idée d'utiliser ce dernier comme parapluie, ni pour Kira ni pour lui, parce que ce serait mettre le bouquin en première ligne face au déchaînement des éléments. Et le pauvre petit livre, la littérature de poche, avec sa mince couverture pour toute protection, n'en ressortirait pas vivante. Non, vraiment, il ne pouvait se résoudre à exhiber cet amas de papier, si bien qu'il fourra le tout sous son t-shirt et plaqua les deux mains dessus pour le couvrir au mieux ; il avait sans doute l'air ridicule, à ressembler ainsi à une femme enceinte pour une entreprise perdue d'avance, mais qu'est-ce qu'il n'aurait pas fait pour quelques dizaines de pages !

Finalement, ce n'était pas lui le plus malchanceux. À peine furent-ils enfoncés dans la forêt qui bordait le lac qu'un grand bruit vint déchirer le calme des arbres. Enoch sursauta. Il se retourna d'un bond pour s'apercevoir qu'il n'était plus suivi par la jeune fille, dont la maladresse avait encore frappé ; mais rien de drôle là-dedans, puisqu'ils étaient désormais séparés. Elle en bas, comment ferait-elle pour remonter la pente ? Et lui en haut, son devoir moral l'empêchait de continuer sans elle.
« Vous ne vous êtes pas fait mal ? » demanda-t-il, une main contre le nez pour faire porter sa voix. Malgré cette prévision, il sentit que sa gorge ne voudrait pas fonctionner au meilleur de sa forme, et il ne sut pas bien si la demoiselle avait entendu ses paroles ou si l'orage s'était fait une joie d'en occulter le moindre mot. Pourtant, un faible « Je vais bien » lui parvint très vite, ce qui le rassura un soupçon. Bien entendu, il se doutait que tout n'allait pas hyper bien et que, même si elle n'était pas blessée, elle se trouvait dans une situation délicate dont il fallait la tirer au plus vite. Certes, mais comment ?

Un coup d'oeil à droite, un coup d'oeil à gauche, puis le garçon lança un « Je vais voir si un chemin contourne la pente jusqu'à vous, attendez un peu ! » Mieux valait ne pas tenter de descendre par la pente, en effet, au risque de se retrouver tous les deux coincés en bas. Et essayer l'ascension inverse serait une entreprise tout aussi compliquée, si ce n'est plus, en raison du sol extrêmement glissant.

Le temps de faire le tour, quelqu'un d'autre était arrivé sur les lieux, aux côtés de Kira. Il lui demanda tout de suite : « Besoin d'aide, jeune fille ? » mais le ton ne semblait pas aussi bienveillant qu'attendu. Il y avait presque un chouïa de reproche, comme si elle n'avait rien à faire là. L'homme portait un uniforme bien connu des habitants de Madison, puisqu'il s'agissait des vêtements militaires fraîchement débarqués en ville, depuis quelques mois. Il avait beau être seul sur place, sa casquette dégoulinante de pluie, ses bottes épaisses et la silhouette de l'arme que l'on devinait à sa ceinture lui donnaient un air des plus austères. « Ce n'est pas un temps à traîner dehors, vous savez. Et encore moins par ici. » Parce que tout le monde savait que, dans la forêt, outre la récente base militaire, il y avait aussi cette zone réputée interdite, où une météorite s'était naguère écrasée... Et Enoch qui n'arrivait toujours pas, encore en train de chercher un sentier sûr.
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Anonymous
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05.04.14 12:38
J'etais recouverte de boue mais la pluie vins a l'enlever. Je m'essuya du mieux que je pouvais le visage et les mains. Quand jouvris les yeux un homme se tenait devant moi, il me surpris. Je pensais tout d'abbord à Enoch mais quand je vis c'est vetement se n'etait pas le cas. Il ressemblais a un militaire plus cas un civile. L'uniforme ne tromper pas. Je vis un bout de son arme a travers la veste, et cela me donna des sueurs froides. Il n'etait pas rassurant malgres qu'il me tendait la mains. J'étais pétrifie, je souhait juste que cela ne soit qu'un mauvais reve, que je me retrouverai chez moi, sans que rien ne se soit passé. Il me sortie bien un « Besoin d'aide, jeune fille ? » mais rien a faire mon coeur me disait de m'en méfier je ne savais pas pourquoi j'avais se presentiment. Je ne devait surtout pas lui faire confiance comme si ma vie en dépendais, bien qu'en toute logique j'aurai du lui faire confiance.

Je souhaite vraiment que Enoch soit là, bien que je le connaissais a peine je lui faisait un peu plus confiance que ce militaire. Je pris la main du militaire comme si de rien etait en cachant la peur et le peu de confiance qu'il m'inspirait. J'essayer d'etre le plus normal possible jouant le rôle d'un potiche comme je savais si bien faire.

" Désoler on pensait se trouvait un abri mais j'ai glissé et je suis tomber. Je suis vraiment maladroite" avec un sourire un peut idot et gêné.

Jespere plus que tout que cela marcherai, de toute façon je n'avais pas tellement le choix. Au pire des cas je souhaiter que Enoch nous rejoingne pour me sortir de se tres mauvais pas.

Quand il rencherit par: « Ce n'est pas un temps à traîner dehors, vous savez. Et encore moins par ici. »
Je ne comprenais pas pourquoi il me disait cela. D'accord il pleuvait des cordes mais trainer dans un endroit pareil, apres tout la forêt était pour tout le monde, on etait libre de faire ce que l'on voulais. Enfin je me posais pas la question tres longtemps. J'espere juste que Enoch vienne a ma rencontre.
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lost in the grey urban woods
Enoch Livingston

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Points de Force: +0
Enoch Livingston
lost in the grey urban woods



03.06.14 20:21
The void took the shape of all that you were, but years take their toll,
and things get bent into shape... ♫

La pluie tombait drue, presque violente, sur ses épaules détrempées. Il maudissait l'orage, maudissait la gadoue qui menaçait de le mettre à terre à coup de glissade bien placée. Il se maudissait surtout, pour n'être pas resté aux côtés de Kira et avoir veillé à sa sécurité. Il aurait dû passer derrière elle, lui tenir le bras, n'importe quoi... Mais non. Égoïste ou tête en l'air, sans doute un peu des deux, il avait ouvert la marche en solitaire et désormais ils étaient séparés. Enoch mit quelques minutes à trouver un sentier à peu près praticable pour descendre au bas de la butte. La pente était plutôt raide, quoique sertie de larges roches qui dessinaient comme des marches ; les mains agrippés aux branchages environnants, il avança avec toute les précautions possibles, dérapa malgré tout et se rattrapa de justesse pour ne pas finir le cul dans les bosquets. Intact. C'était tout ce qu'il espérait. Par deux fois, il se mit à appeler la jeune fille, tout en sachant que le vacarme des gouttes sur les feuilles couvrait la moitié de son cri ; c'était comme si sa voix s'enfonçait dans une ouate mouillée tout autour de lui, que la forêt étouffait tout entière ses paroles.

Finalement, il aperçut une silhouette entre deux arbres et accéléra dans sa direction.
« Ah, vous êtes là. J'ai cru... » La phrase mourut dans un soupir d'eau. À moins qu'en deux minutes chrono', Kira eusse pris vingt centimètres, trente kilogrammes, se fût coupé les cheveux à ras et changé en treillis, il n'y avait aucune chance pour que la personne devant le garçon fût celle à laquelle il s'attendait. Néanmoins, une pointe de soulagement perça en lui lorsqu'il constata que, pour lui tenir compagnie, le militaire avait la fameuse blandinette, saine et sauve.  
« On a failli vous attendre ! » s'exclama-t-il avec entrain, avant de retrouver subitement son sérieux : « Maintenant que vous êtes là, ne nous éternisons pas ; je vous ramène au lac. Vous risquez de vous perdre en forêt si vous continuez dans ce sens. » Enoch ne trouva rien à répondre ; la sympathie du soldat était palpable, mais quelque chose semblait le déranger dans la présence des deux jeunes gens. D'ailleurs, était-ce normal de le croiser ici, loin de tout ?

Ils remontèrent tous les trois le sentier bourbeux, passèrent à nouveau devant la cabane au bord de l'eau, dont le toit troué gouttait toujours. Cette fois-ci, le fantôme se tenait proche de Kira, espérant que le retour ne serait pas aussi maladroit que l'allée ; il hochait la tête aux bavardages enthousiastes du militaire, visiblement ravi d'avoir de nouveaux interlocuteurs après des heures de surveillance forestières. « Et voilà l'arrêt de bus ; vous pourrez rentrer au centre-ville et vous mettre au chaud. Au plaisir, les jeunes ! » Enoch aurait mis sa main au feu que le soldat les avait quasiment jetés dans le véhicule. Derrière sa gentillesse craquelait une attitude pressée, voire nerveuse, et leur présence devenait en quelque sorte gênante pour lui. Mais c'en était fait ; ils n'avaient pas la possibilité de refuser, car quelque part, l'autorité perçait dans l'au revoir de l'homme. Il n'aurait sans doute pas accepté qu'ils descendent du bus et retournent dans les bois. Et puis, finalement, ils étaient au sec ici, alors sortir aurait été un peu idiot.
« Où est-ce que vous habitez ? » demanda enfin le garçon, alors que le véhicule démarrait.
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