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Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup y est pas...[Sky][Février]
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06.08.13 19:16
Eleona avait proposé une randonnée-exercice à son père, mais il l'avait lâchement abandonnée pour cette fois, prétextant une mission à venir. Elle était donc partie se promener en forêt. Seule. Leo était loin d'avoir peur, malgré toutes les rumeurs et tout ce que les gens pouvaient raconter sur la forêt, surtout avec les derniers événements. Mais la jeune fille s'en fichait. A cause des cours et de son boulot, elle n'avait pas pu se défouler comme elle le voulait depuis au moins une semaine et elle avait grand besoin de se défouler. On pouvait même dire que Leo était frustrée de ne pas avoir pu s’entraîner, puisque sa survie était en jeu.

Elle était partie de chez elle habillée d'un treillis, d'un débardeur blanc et d'une veste de sport kaki, des ranger aux pieds et son nécessaire de survis bien ranger dans les différentes poches de son pantalon et de sa ceinture. Elle avait déjà parcourut cinq kilomètres dans la forêt à environ cent mètres de la lisière. C'était le chemin qu'elle faisait une fois toutes les deux semaines environ, jamais le même jour. Son père lui rappelait souvent qu'il fallait être imprévisible.

Elle eut soif au bout d'un moment et n'ayant pas envie de prendre dans ses réserves elle se rendit à un petit kiosque à la lisière de la forêt. Sur la petite place à côté du parking, il y avait peu de monde. Personne pour ainsi dire. Ce n'était pas une heure où les gens sortaient, ou plutôt, ce n'était pas un temps à ce que les gens sortent de chez eux. En février, même si le temps était plutôt sec aujourd'hui, il ne faisait pas très chaud. Mais Leo ne se décourageait pas pour si peu. Elle quitta la forêt et sonna au comptoir.

- Bonjour monsieur. Une bouteille d'eau 50cL, s'il vous plait.

Elle fut rapidement servie et allait repartir quand une voiture de police se gara sur le parking. Elle revint sur ses pas et fit sa curieuse.

- Hé, monsieur ! C'est vous qui avez appelé les flics ?
- Ouais ! On m'a volé ! Et je sais que c'est pas un animal !
- Bon courage pour trouver le voleur !

Le patron la remercia en bougonnant puis sortit pour s'entretenir avec les policiers. Pendant ce temps-là, Eleona prit quelques gorgées, glissa la bouteille dans une poche au niveau de la cuisse gauche et reprit sa course dans la forêt. Elle s'enfonça un peu plus profondément et atteint une clairière qu'elle visitait peu habituellement. En appui sur ses genoux, elle calmait sa respiration quand elle entendit un bruit suspect. Leo se releva aussitôt, se mit en position défensive et attendit. Ne voyant rien, elle s'éclaircit la gorge avant d'élever la voix en surveillant les arbres.

- Qui va là ?
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07.08.13 11:14
Aujourd'hui, c'est la sixième fois que je chippe de la nourriture au marchand à la lisière des bois. Ce débile n'a toujours pas capté qu'il lui manquait des réserves ou pense tout simplement que c'est un animal. C'est fou se que les gens ne remarque rien... A chaque fois, je fais bien attention de ne pas prendre la même chose et d'éventrer une boite de conserve, sa fait plus furet ou raton-laveur. Puis je resors par la porte de derrière et me faufile dans les bois. Manque de pot, le type c'est ramené quelques secondes après le délis. Il voulait prendre une bouteille d'eau de 50cL. Je le sais parce qu'elles sont toujours au même endroit et qu'il ne les change pas de place. Les adultes sont vraiment trop prévisibles...

Grâce à mon pouvoir, j'ai pu me construire une joli cabane très haut dans les arbres ainsi que plusieurs postes de guet que j'ai pris soin de dissimuler si bien qu'on voit plus rien. C'est super facile de se déplacer et en plus, même un enfant de trois ans pourrait se débrouiller seul. Les poulies et les cordes viennent d'un entrepos désafecté près de la ville et le reste, je vous dirais pas, vous seriez choqué bande de vous. Donc je remonte à la plate forme la plus proche et déguste mon sandwich au jambon cru accompagné d'une canette de coca, avec les bulles en moins.

De là ou je suis, j'ai une vue parfaite sur une grande clairière. Pour descendre, il faut déescalader le tout, branche par branche. A force des aller et retours, on devient plus rapide. Soudain une fille entre dans la clairière. Je l'avais vu rentrer chez le marchand quelques minutes auparavant et son look de "pseudo" militaire ne m'avait pas trop plu. Pourquoi? Dois-je vous rappelez qui est mon père? Cette pourriture ne mérite même pas de vivre. Et quand Primvers reviendra du Canada, je la ramennerai avec moi, ici. Parce que c'est ici chez nous.

Je descends à petit pas précis mais une branche craque. La fille m'a entendu. Rapide comme l'éclair, je sors mon lance pierre et envoi un galet dans les feuillages plus loin. Sa me permettra de faire divertions. Comme je l'avais prévu, une nuée d'oiseau s'élance dans le ciel en piaillant. Je me dépèche d'arriver en bas et l'observe quelques secondes. Puis je m'avance doucement et m'arrète à 5m d'elle. Je connais mieux les alentours qu'elle alors il ne e serra pas dificile de la semer. Si sa se trouve, c'est mon père qui l'a envoyer... Je lui cri:

- Si tu viens me chercher, sache que je ne reviendrais pas. Jamais. Plutôt crever.

Si elle me répond quelque chose de singlant ou si elle fait mine de m'attaquer, je la tue. Cette première semaines dans les bois m'a rendu plus matur. On ne peux faire confiance à personne quand on est seul, personne. Puis je me met en position de défense, ma dague bien en main, le regard de braise.
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07.08.13 12:27
En position défensive, Eleona avait tous ses sens en alerte. Après le premier bruit, une volée d'oiseaux s'envola, plusieurs mètres plus loin. Cela sembla suspect à Leo. Aucun animal, ni humain normalement constitué ne pouvait passer aussi rapidement d'un point à un autre. La jeune fille préfèrerait que se soit une famille de gentils lapins, mais à cette période de l'année, cela lui semblait peu probable. La seconde hypothèse lui paraissait étrangement cent fois plus probable, particulièrement au vue des derniers événements. Elle ne quitta donc pas son poste bien qu'elle soit complètement à découvert.

A peine quelque secondes plus tard, quelqu'un sortit des buissons. Leo analysa la menace aussi rapidement que possible. Femme, d'environ son âge, environ 1m75, blonde, yeux bleus, armée. En voyant la lame, Leo fit deux pas en arrière pour mettre plus de distance entre elles deux et hésita à sortir son couteau, sagement rangé dans son fourreau accroché à sa ceinture dans son dos. Hésiter pouvait lui coûter la vie, selon son père, mais Eleona trouva étrange les paroles de la demoiselle en face d'elle. Qui cherchait-elle à fuir ? Etait-ce une Evolve recherchée ? Dans tous les cas, Leo ne pouvait décemment pas lui faire de mal, solidarité oblige. Toutefois, la jeune fille armée semblait apeurée. Leo savait que les gens sous l'effet de la peur deviennent incontrôlables, donc dangereux, et les yeux de la blondinette ne mentaient pas. Eleona garda donc ses mains bien en évidence et ne fit pas de gestes brusques en tentant d'établir un contact amical.

- Doucement, calme-toi. Je ne te veux aucun mal. Je m'appelle Eleona, mais tu peux m'appeler Leo. C'est comme ça que tout le monde m'appelle. Et toi, c'est comment ?

Leo ne cherchait pas à gagner du temps. Son père n'étant pas à la maison, il n'y avait que sa mère qui pourrait la biper, mais pas avant plusieurs heures, à cause de son travail. Et puis, à bien y regarder, cette fille avait peut-être besoin d'aide. Sûrement, même. Est-ce qu'elle vivait seule dans la forêt ? Pour quelles raisons ? Et puis, avait-elle le nécessaire pour survivre ? Les nuits étaient froides en hiver. sincèrement inquiète, Leo se pencha lentement du coté droit pour ouvrir une poche et en sortir deux barres céréalières. Elle lui en tendit une tandis qu'elle ouvrait la seconde avec les dents.

- Tu as faim ? Moi, oui. Du coup, j'ai toujours, quelque chose sur moi. Tiens, prends-la si tu veux.
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29.08.13 13:41
Elle s'appelle Leo. J'ai déjà entendu se nom quelque part mais ou? Je ne me souviens plus... En tout cas elle est armée. Mais elle ne me veut pas de mal. Enfin je crois. Oui... Sa me revient... Papa m'avait déjà présenter à un autre type de l'armée. De loin, elle lui ressemble. Du moins un petit peu. Je respire calmement et passe mon poids sur ma jambe droite, la gauche légèrement endoloris à cause de ma chute d'entre les arbres. La jeune femme me parle, mais n'essais apparemment pas de gagner du temps. On dirait qu'elle cherche à comprendre pourquoi je suis là. Et c'est bien la première... Elle porte sa main à sa droite. Je recule instinctivement. Mais Leo en sort de barres de céréales. Mon corps se détend. J'ai déjà mangé mais refusé son aide serait peut être impoli.

Lentement, je m'approche. Ma tresse blonde se balade d'un côté puis de l'autre de ma nuque. Aujourd'hui j'ai délaissé ma robe "Alice au Pays des Merveilles" pour une tenue "aviateur". Un veste en cuir foncé, un pantalon kaki, serré, et des baskets montante. Du sparadraps et enroulé autour de mes mains, pour cacher mes blessures et éviter de les agrandir. Dans ma tête, des plans de fuites se construisent. Au cas ou. Je ne connais pas sa rapidité, alors une fuite à travers la clairière serait mal vu. Je connais mieux les alentours qu'elle et puis, c'est moi qui ai construit tout le réseau de cabane au dessus. Oui, je vais faire sa. C'est plus judicieux... On ne peut lire aucune réelle émotion sur mon visage. Mais en vérité, j'ai peur. De mon père, si c'est lui qui envoi Leo. De se qu'il pourra me faire par la suite. De l'hiver qui approche tellement vite. Mais lorsque je m'approche enfin pour saisir la barre, j'observe Leo. Nos regards s'entrecroisent. Mes yeux s'ouvre en grand. La jeune fille devant moi ressemble tellement à maman... Les souvenirs j'aïssent. J'éclate en sanglot et tombe à genoux. Les larmes roulent sur mes joues gelées. Je suis épuisée. Je suis perdue. Je ne sais plus quoi faire. Et j'ai besoin d'aide. Mais accepter celle de Leo, c'est convenir que je suis faible. Je ne veux pas être faible. Et puis Leo me ramènera surement chez mon père. Alors je lève un regard mouillé et implorant:

-S'il te plait... Ne me ramène pas...

Puis le noir.
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29.08.13 20:28
Eleona avait beau avoir agi lentement, la jeune fille avait reculé, avant de lentement s'approcher pour prendre la barre de céréales. Elle lui sourit gentiment sans arrière pensée. Mais le temps qu'elle avance, Leo l'observa plus en détail. Sa tenue était adaptée à des conditions de vie en extérieur, mais pas aux conditions hivernales. De plus, elle était blessée. Rien de bien méchant apparemment, mais avait-elle de quoi se soigner ? Leurs regards se croisèrent. La jeune fille sembla surprise. Pourtant, les deux demoiselles ne se connaissaient pas. Elle ne lui avait même pas dit son nom. Leo était loin de s'en vexer, pour l'heure, elle se faisait plutôt du souci pour cette blondinette à l'air fragile.

Et cela n'alla pas en s'arrangeant quand la jeune fille tomba à genoux, en pleurs. Leo ne comprit pas. Elle n'y était pour rien. Et la fille qui la regarde avec ses grands yeux bleus... Eleona n'est pas du genre sensible, mais la détresse de la jeune fille ne lui échappa pas. Elle goba la fin de sa barre de céréales -hors de question de gaspiller -, s'approcha prudemment d'elle et la prit dans ses bras gentiment. Leo trouva que la jeune fille avait l'air complètement perdue. Elle ne connaissait pas son histoire, mais vivre seule dans la forêt à son âge était peu habituel, et sans vouloir être méchante, Leo trouva que l'inconnue n'avait pas vraiment le gabarit pour les activités en plein air.

- Là... Calme-toi...Tout va bien.

Et heureusement qu'Eleona s'était risquée à la prendre dans ses bras parce que la jeune fille perdit connaissance. Leo fut bien embêtée. Là comme ça, en pleine forêt, où demander du secours? Automatiquement, elle appliqua ce qu'elle avait appris. Leo n'avait que son bipper, et ne pouvait pas donner de coups de fil. La première chose qu'elle fit, fut d'allonger convenablement la blondinette avant de retirer sa veste pour lui faire un coussin. La seconde chose fut de faire un tour rapide des lieux, sans omettre aucune direction dans une zone de trente mètres autour de leur position. C'est ainsi qu'elle découvrit les cabanes dans les arbres. Elle monta dans l'une d'elle, fit un tour rapide des possession de l'inconnue puis se rendit vite à l'évidence : elle n'avait aucun nécessaire de survie.

Eleona retourna auprès de la blondinette, s'assura qu'elle allait bien tout en essayant de la réveiller, sans résultat. Elle prit donc la décision, puisque Blondie, autant l'appeler comme cela jusqu'à nouvel ordre, ne souhaitait pas rentrer, elle ne savait où, autant rester dans les parages, et puis Leo ne voyait pas l'utilité de la ramener chez elle en la portant sur son dos. Pas avec tous les contrôles qui se faisaient en ville. Elle se contenta donc de la monter dans la cabane principale avant de courir jusque chez elle récupérer le sac de survie, mis à jour chaque mois, revenant au plus vite prendre soin de Blondie.

Cela faisait bien une heure que Leo faisait tout pour réchauffer Blondie, sans allumer de feu bien sur, et elle commençait à s'inquiéter de ne pas la voir se réveiller.
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09.09.13 21:24
Je cours à en perdre haleine. Le sang fouette mes tempes, mon front dégouline de sueur. Les battements de mon coeur résonnent dans ma tête comme un tambour, insupportable.

Bom- Bom... Bom-Bom... Bom-Bom...

Deux murs fusent à ma droite et à ma gauche. Des murs immenses qui semblent se pencher l'un vers l'autre à mesure qu'ils s'élèvent vers un plafond noir. Peut-être tout là-haut, dans l'obscurité de la toile noire, se rejoignent-ils tout à fait? Il fait une chaleur!

Bom-Bom... Bom-Bom... Bom-Bom...

Le couloir file devant moi, crevasse étroite creusée au coeur des ténèbres brûlantes, qui menace de s'effondrer sur elle-même à chaque instant, et de me broyer entre ses parois par la même occasion. Plus vite, plus vite!...

Je voudrais accélérer, courir plus vite encore, mais mes pieds patinent, dérapent, glissent sur le sol visqueux. Mes côtes me font mal, à respirer si fort. J'ai si chaud qu'il me semble me consumer, que je brûle de l'intérieur. Mon coeur est sur le point d'exploser!

BOM!

Tel un diable dans sa boîte, je me redresse d'un bond contre l'oreiller de mon lit de camp. Quel affreux cauchemar! Je suffoque, je transpire, j'halète et inspire l'air glacé dans mes poumons brulant. Je suis en train de m'étouffer. Par réflexe, je me précipite jusqu'à la première ouverture et rejette tout se que j'ai été en mesure d'avaler ses dernières semaines. Je m'essuie rapidement avec un chiffon et regagne le lit, lessivée. Puis je remarque la jeune fille assise au près du lit. Je lui désigne très maladroitement  le lit et m'assois sur une chaise à côté. Les derniers événements me reviennent en mémoire. Elle s'appelle Léo. Elle ressemble à maman. Elle a l'air équipée et ne cherche apparemment pas à me ramener. Chouette alors. Je noue mes cheveux en une natte serrée que je laisse ensuite dans mon dos. D'accord. Je la laisserais m'aider. Mais à une condition... Qu'elle m'aide à me venger. De ma pourriture de géniteur. Qu'on lui règle son compte à cette ordure. A ce... Léo remue dans son sommeil. Et le soir tombe plus rapidement en hiver. Je vais chercher une lampe à huile ainsi que des allumettes. Puis je dépose le tout sur une toute petite table de chevet. Puis je prend la parole...

-Merci Léo... De m'avoir surveiller pendant que je dormais. Moi C'est Sky, Sky Everdeen.
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12.09.13 10:08
Eleona n'avait jamais joué à l'infirmière. Tout ce que son père lui avait appris, c'était à s'occuper d'elle-même. L'assistance aux personnes en danger n'était pas encore tout à fait acquise. Mais elle savait quoi faire, ou presque. Enfin, en théorie.

Blondie sur le lit, Leo par terre, éveillée à faire mentalement l'inventaire de la pièce, elle ne savait pas quoi faire pour la jeune fille endormie. Blondie bougeait et gémissait dans son sommeil. Leo tenta bien de lui caresser le front d'une façon rassurante rien n'y avait fait. Elle s'était donc installée par terre pour attendre, attentive aux bruits extérieurs. Son regard tomba sur des boites de conserves vides. Serait-ce elle l'animal voleur du snack ? Leo sourit. Belle bête !

Plus de deux heures plus tard, Blondie se réveilla en sursaut. Leo releva la tête et assista rapidement  à une scène pas très ragoutante. *Attention en bas !* Bon, certes, on n'était plus au Moyen-Age, mais c'est tout ce que cela lui inspira. Oui Leo était passionnée par le Moyen-Age et les chevalier, ces fier combattants ! Enfin, bref. Quand blondie eut finit, elle posa son cul sur un chaise et montra le lit à Leo. Leo regarda le lit, puis Blondit, puis fit non de la tête. Elle n'en avait pas besoin et vu l'heure, sa mère n'allait pas tarder à la biper pour savoir si elle était toujours libre et en vie. Elle laissa Blondie faire ce qu'elle voulait n'approuvant pas la lampe, mais se taisant pour le moment. Leo n'avait pas oublier que la demoiselle était armée, et bien que Leo ait gardé la lame de la jeune fille, il était fortement probable qu'elle cache d'autres armes dans ses quartiers. Ce qui, d'après Eleona était tout à fait normal.

-Merci Léo... De m'avoir surveiller pendant que je dormais. Moi C'est Sky, Sky Everdeen.

Blondie s'appelait donc Sky. Joli. Leo la salua un peu à la militaire, sauf que le geste se contentait de deux doigts à la temps dans un mouvement plutôt nonchalant.

- Salut ! Et de rien. J'allais pas te laisser croupir dans la boue ! Bon Ok, y avait pas de boue, mais bon, le sol c'est pas vraiment un chouette endroit pour dormir en hiver... Pas sans couverture en tout cas.

Oui, Leo pouvait devenir bavarde, mais après la crise que Blondie... pardon, Sky lui avait fait quelques heures auparavant, il fallait bien qu'elle détende l'atmosphère. Et puis elle commençait avoir super faim. Ce nétait pas la barre de céréale qui lui avait fait quelque chose. Enfin, si, sur le moment, mais cela n'avait pas durer. Et puis là n'était pas vraiment le moment. Leo reprit plus sérieusement :

- Tu peux m'expliquer comment tu vas survivre en plein hiver sans rien pour te chauffer, ni manger ? 


Oui, Leo et la subtilité, ça fait deux. Espérons que Sky ne se vexe pas, ou ne se braque pas.
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